Ayanda vivait heureuse jusqu’à ce que la guerre éclate et emporte son père. Elle décide alors de ne plus grandir, refusant d’entrer dans le monde adulte. Mais face à l’adversité (la maladie de sa mère, la mort de sa grand-mère, la responsabilité de son petit frère) elle est contrainte de céder et d’assumer un rôle « plus grand » qu’elle. Jusqu’à l’agression du village par des bandits où elle se transforme en géante, douloureusement. Elle revient finalement à une taille normale. Le village lui est reconnaissant. [...] Evocation du rôle central des filles dans des situations de survies, obligées de grandir trop vite pour assumer des responsabilités qui ne sont pas de leur âge?