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Cote | Localisation | Statut |
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R KIN | Les Romans Plus de détails sur cet exemplaire Code-barres: 0219554577 |
Auteur | Stephen King; Lorris Murail [traducteur]; Natalie Zimmermann [traducteur] |
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Titre | Danse macabre / Stephen King - trad. de l'américain par Lorris Murail et Natalie Zimmermann. |
Editeur | Paris : Lattès, 1993. |
Collection | Ushuaïa présente |
Description | 349 p. : couv. ill. en coul. ; 24 cm |
Langue | Français. |
Centre d'intérêts | Roman adulte |
Support | Livre |
Médias
Stephen King est un écrivain américain né le à Portland, dans le Maine (États-Unis).
Il a publié son premier roman en 1974 et est rapidement devenu célèbre pour ses contributions dans le domaine de l'horreur mais a également écrit des livres relevant d'autres genres comme le fantastique, la fantasy, la science-fiction et le roman policier. Tout au long de sa carrière, il a écrit et publié plus de cinquante romans, dont sept sous le pseudonyme de Richard Bachman, et environ deux cents nouvelles, dont plus de la moitié sont réunies dans dix recueils de nouvelles. Depuis son grave accident survenu en 1999, il a ralenti son rythme d'écriture. Ses livres ont été vendus à plus de 350 millions d'exemplaires à travers le monde[1] et il a établi de nouveaux records de ventes dans le domaine de l'édition durant les années 1980, décennie où sa popularité a atteint son apogée.
Longtemps dédaigné par les critiques littéraires et les universitaires car considéré comme un auteur « populaire », il a acquis plus de considération depuis les années 1990 même si une partie de ces milieux continue de rejeter ses livres. Il a souvent été critiqué pour son style familier, son recours au gore et la longueur jugée excessive de certains de ses romans. À l'inverse, son sens de la narration, ses personnages vivants et colorés, et sa faculté à jouer avec les peurs des lecteurs ont toujours été salués. Au-delà du caractère horrifique de la plupart de ses livres, il aborde régulièrement les thèmes de l'enfance et de la condition de l'écrivain, et brosse un portrait social très réaliste et sans complaisance des États-Unis à la fin du XXe siècle et au début du siècle suivant.
Il a remporté de nombreux prix littéraires dont treize fois le prix Bram Stoker, sept fois le prix British Fantasy, cinq fois le prix Locus, quatre fois le prix World Fantasy, deux fois le prix Edgar-Allan-Poe et une fois le prix Hugo et l'O. Henry Award. Il a reçu en 2003 la médaille de la National Book Foundation pour sa remarquable contribution à la littérature américaine et a été décoré de la National Medal of Arts en 2015. Ses ouvrages ont souvent été adaptés pour le cinéma ou la télévision avec des fortunes diverses, parfois avec sa contribution en tant que scénariste et, une seule fois, comme réalisateur.
Les parents de Stephen King sont Donald Edwin King, né le [o 1] sous le nom de Donald Pollock[2], ancien capitaine de la marine marchande devenu représentant, et Nellie Ruth Pillsbury, née le , pianiste. Ils se marient le . Le , le couple, qui pense ne pas pouvoir avoir d'enfant, adopte un nouveau-né, David Victor King. Néanmoins, Ruth finit par tomber enceinte et Stephen Edwin King naît le au Maine General Hospital de Portland, dans le Maine. En 1949, Donald King, coureur de jupons invétéré à qui le rôle de père de famille ne convient pas, abandonne soudainement le domicile familial pour ne jamais réapparaître[o 1]. Dès lors, Ruth King et ses deux enfants vivent dans des conditions financières souvent très difficiles et déménagent fréquemment, Ruth occupant de petits emplois et s'installant tour à tour près du domicile de ses nombreuses sœurs. De 1949 à 1958, la famille King réside ainsi successivement à Fort Wayne (Indiana), West De Pere (Wisconsin), Chicago, Malden (Massachusetts) et Stratford (Connecticut)[r 1]. À l'âge de quatre ans, le jeune Stephen connaît ses premières rencontres avec l'horreur. Dans la vie réelle tout d'abord, quand un train écrase un camarade de jeu sous ses yeux. Puis en écoutant l'adaptation radiophonique d'une nouvelle de Ray Bradbury, Mars Is Heaven, qui le terrifie[r 2]. Pendant l'année scolaire 1953-1954, le jeune Stephen est retiré de l'école en raison de divers problèmes de santé et passe l'essentiel de son temps à la maison, où il écrit ses premières histoires d'enfant[e 1].
En 1958, la famille King retourne dans le Maine, à Durham, pour que Ruth puisse s'occuper de ses parents dont la santé est déclinante[r 2]. Cette année-là, Ruth King offre à son fils sa première machine à écrire pour Noël[e 2] et Stephen écrit plusieurs nouvelles, largement inspirées par les bandes dessinées d'EC Comics[z 1], notamment Les Contes de la crypte, et les films de science-fiction et d'horreur. En 1960, Stephen découvre une caisse de livres qui appartenaient à son père et dans laquelle se trouve The Lurking Fear and Other Stories, une anthologie de nouvelles de H. P. Lovecraft qui constitue sa première lecture d'horreur « sérieuse ». Entre 1958 et 1966, il se rend en stop quasiment tous les samedis au cinéma Ritz de Lewiston, distant d'une vingtaine de kilomètres de Durham, pour satisfaire sa passion du cinéma[r 3]. En 1961, il expédie pour la première fois une de ses nouvelles, The Killer, à un magazine publié par Forrest J Ackerman[z 2]. Il autopublie ses premiers récits vers la même période à l'aide d'une machine à ronéotyper que son frère utilise pour publier le journal Dave's Rag (le Torchon de Dave) auquel Stephen contribue[e 3]. Il vend ainsi sa première histoire, une novélisation du film La Chambre des tortures (The Pit and the Pendulum, 1961), aux élèves de son école mais la principale l'oblige à rembourser ses gains[e 4].
De 1962 à 1966, Stephen King va à l'école secondaire de Lisbon Falls[d 1]. Il est bon élève, sauf en physique et en chimie, mais n'est ni très sociable, ni athlétique en raison de ses problèmes de poids. Il joue au poste d'offensive tackle dans l'équipe de football américain du lycée[o 2]. En 1963, il écrit son premier roman, The Aftermath, texte de 50 000 mots resté inachevé et jamais publié[z 3]. À partir de 1964, il travaille comme journaliste sportif pour le journal hebdomadaire de Lisbon Falls et y apprend de son rédacteur en chef à corriger ses textes en supprimant les mots superflus[e 5]. La première histoire qu'il réussit à faire publier, après de nombreux refus, est I Was a Teenage Grave Robber qui paraît en 1965 dans un fanzine d'horreur sous le titre In a Half-World of Terror[r 4]. Durant sa dernière année de lycée, il écrit la première version de Rage mais la laisse inachevée[b 1].
Après avoir obtenu son diplôme de fin d'études secondaires, King étudie la littérature à l'université du Maine d'Orono de 1966 à 1970[d 1]. C'est pendant sa première année à l'université, qu'il écrit Marche ou crève, premier roman dont il réussit à venir à bout. Il le présente à un concours du premier roman organisé par Random House, qui le rejette rapidement à la grande détresse de King[s 1]. En 1967, il réussit pour la première fois à vendre une nouvelle, The Glass Floor, au magazine Startling Mystery Stories, qui la lui achète 25 dollars[z 4]. Il écrit aussi des nouvelles qui paraissent dans le magazine littéraire du campus, Ubris, et dans le journal des étudiants, Maine Campus, pour lequel il écrit également des articles dans une rubrique intitulée King's Garbage Truck à partir de 1969[r 5].
Le professeur Burton Hatlen aide King à développer son talent à travers ses ateliers littéraires et l'encourage à persévérer dans l'écriture[r 6]. Sa deuxième vente professionnelle est la nouvelle L'Image de la faucheuse, qui lui rapporte 35 $ au printemps 1969[z 5]. Quelques mois plus tard, King rencontre Tabitha Jane Spruce, elle aussi étudiante en lettres, à la bibliothèque du campus et tombe amoureux d'elle[e 6]. Durant sa dernière année à l'université, King achève le roman Sword in the Darkness, une histoire très sombre qui a pour toile de fond une émeute raciale dans une petite ville, mais il ne réussit pas à la vendre à un éditeur et ce roman demeure inédit[z 6]. Au printemps 1970, il écrit également les deux premiers récits de ce qui constituera plus tard Le Pistolero[b 2] ainsi que la nouvelle Poste de nuit, que le magazine masculin Cavalier lui achète 200 $[e 7].
Stephen King sort de l'université du Maine avec un diplôme et un certificat d'enseignant en anglais ainsi qu'une mention en élocution et en art dramatique[b 3]. Il emménage dans un appartement à Orono avec Tabitha mais il n'arrive pas à trouver un poste d'enseignant et doit se résigner à travailler dans une blanchisserie industrielle[e 8]. Il essaie de compléter les maigres revenus de son ménage en envoyant des nouvelles à des magazines et se marie avec Tabitha le [r 7] alors qu'elle est enceinte de leur premier enfant, une fille prénommée Naomi qui naît cinq mois plus tard. En 1971, King trouve un poste de professeur d'anglais à l'école secondaire de Hampden, pour un salaire de 6 400 $ par an, mais continue à travailler dans la blanchisserie pendant les vacances d'été car la situation financière du foyer, qui vit de 1971 à 1973 dans une caravane à Hermon, est devenue plus précaire encore avec la naissance d'un deuxième enfant, Joseph Hillstrom, en 1972[e 9]. Durant cette période difficile, où trois romans qu'il a écrits, Rage, Blaze et Running Man, sont refusés par les éditeurs[z 7], King développe une dépendance à l'alcool en cherchant du réconfort dans la boisson. Par ailleurs, il vend notamment les nouvelles Le Cinquième Quart, histoire de gangsters qui est la seule qu'il ait publiée sous le pseudonyme de John Swithen[z 8], et Cours, Jimmy, cours, achetée par Cavalier 500 $, la plus forte somme qu'un récit lui ait rapporté jusqu'alors[e 10].
En 1972, alors que Stephen King a 25 ans, il entreprend la rédaction de Carrie, l'histoire d'une adolescente souffre-douleur de ses camarades de classe qui développe un pouvoir de télékinésie, mais, doutant de la qualité de son récit, il jette les trois premières pages à la poubelle. Tabitha les retrouve et, après les avoir lues, encourage son mari à persévérer dans sa tentative[e 11]. King termine donc Carrie et expédie le manuscrit à la maison d'édition Doubleday. L'éditeur accepte le roman en et fait signer à King un contrat type qui l'engage pour cinq romans[z 9]. Doubleday programme sa publication pour l'année suivante, versant à King une avance sur les droits d'auteur de 2 500 $[z 10]. La famille King déménage pour Bangor et Stephen commence à écrire un nouveau roman, Salem, quand Doubleday l'informe que les droits en édition de poche de Carrie ont été vendus pour 400 000 $, somme dont la moitié lui revient[e 12]. King décide alors d'arrêter sa carrière d'enseignant et de se consacrer uniquement à l'écriture. Sa mère meurt en décembre 1973[z 11] d'un cancer de l'utérus diagnostiqué quelques mois auparavant, sa sœur Ethelyn lui ayant fait la lecture de Carrie un mois avant sa mort[e 13]. Carrie est finalement publié par Doubleday le à 30 000 exemplaires, dont 13 000 sont vendus la première année[z 10].
Après la mort de sa mère, King et sa famille déménagent à Boulder, dans le Colorado, où King entreprend la rédaction de Shining, l'enfant lumière après avoir imaginé les bases de l'histoire lors d'un bref séjour au Stanley Hotel d'Estes Park[r 8]. Ils reviennent s'installer dans le Maine en 1975, King achetant sa première maison à Bridgton[z 12], et Salem est publié par Doubleday le . Ce roman est une sorte de version modernisée de Dracula dans laquelle le vampire s'installe dans une petite ville du Maine. Il s'inspire aussi de Peyton Place pour le regard qu'il porte sur la mentalité régnant dans les petites villes[z 13]. Toujours en 1975, Carrie est publié en édition de poche et se vend à plus de 1 300 000 exemplaires en moins d'un an. Salem, dont les droits en édition de poche ont été vendus par Doubleday pour 500 000 $, sort dans le même format en août 1976 et se vend à 2 250 000 exemplaires en six mois[b 4].
En 1976, King ressent le besoin d'engager un agent littéraire pour le représenter car il n'est pas satisfait du faible pourcentage qu'il touche sur les droits d'auteur et que Doubleday refuse de renégocier son contrat. Il choisit de se faire représenter par Kirby McCauley, qui a gagné sa confiance en vendant certaines de ses nouvelles à des magazines généralistes, et ce dernier négocie en 1977 un nouveau contrat avec Viking Press qui engage King sur trois livres pour 2 500 000 $[z 9].
Shining, l'enfant lumière paraît le . Le roman met en scène la famille Torrance qui passe l'hiver seule dans un hôtel hanté par une présence maléfique, laquelle veut s'emparer du jeune Danny, doté d'un pouvoir télépathique, en utilisant son père. Considéré comme l'un des meilleurs romans de King, Shining, l'enfant lumière étudie la désintégration de la cellule familiale à travers l'isolement, la folie et l'alcoolisme[b 5],[s 2], ce dernier facteur reflétant de façon inconsciente les propres problèmes de King avec la boisson[e 14]. Le roman se vend la première année à environ 50 000 exemplaires en édition cartonnée et dépasse légèrement les ventes de Salem en édition de poche[b 6]. Il entre brièvement sur la liste des best-sellers du New York Times[3], tous les romans de King allant devenir des best-sellers à partir de ce moment, à l'exclusion de ceux parus en édition limitée ou sous son pseudonyme.
Titre: Dôme, Tome 2 :Auteur(s): Stephen King et William DesmondEditeur: Editions Albin MichelAnnée d'édition: 2011Etat: Occasion - BonISBN : 9782226220592Commentaire: Tome 2. Petite(s) trace(s) de pliure sur la couverture. Ammareal reverse jusqu'à 15% du prix net de ce livre à des organisations caritatives. Chez Ammareal nous vendons des livres d'occasion en ligne fournis par nos partenaires bibliothèques et associations.Nous reversons une part du prix de chaque livre à nos partenaires et à des organisations caritatives.Ce que nous ne [...] vendons pas nous le donnons, ce que nous ne donnons pas nous le recyclons.
Titre: Ecriture Auteur(s): Stephen King Editeur: Albin Michel Année d'édition: 2001 Etat: Occasion - Bon ISBN : 9782226126702 Commentaire: Ancien livre de bibliothèque. Ammareal reverse jusqu'à 15% du prix net de ce livre à des organisations caritatives. Chez Ammareal nous vendons des livres d'occasion en ligne fournis par nos partenaires bibliothèques et associations.Nous reversons une part du prix de chaque livre à nos partenaires et à des organisations caritatives.Ce que nous ne vendons pas nous le donnons, ce que nous ne donnons [...] pas nous le recyclons.
Titre: RevivalAuteur(s): Stephen KingEditeur: ALBIN MICHELAnnée d'édition: 2015Etat: Occasion - BonISBN : 9782226319302Commentaire: Ammareal reverse jusqu'à 15% du prix net de ce livre à des organisations caritatives. Chez Ammareal nous vendons des livres d'occasion en ligne fournis par nos partenaires bibliothèques et associations.Nous reversons une part du prix de chaque livre à nos partenaires et à des organisations caritatives.Ce que nous ne vendons pas nous le donnons, ce que nous ne donnons pas nous le [...] recyclons.