Jean-Claude Mourlevat est un auteur français né à Ambert (Puy-de-Dôme) le 22 mars 1952. Il est particulièrement connu pour ses romans destinés à la jeunesse.
Jean-Claude Mourlevat passe son enfance en Auvergne[1]. En 1962, il devient interne au lycée Blaise Pascal d'Ambert où il reste jusqu'à l'obtention de son baccalauréat[2], il évoque par la suite cette partie de sa vie dans un roman autobiographique Je voudrais rentrer à la maison.
Il poursuit ses études supérieures à Strasbourg, Toulouse, Bonn et Paris. Il obtient le CAPES d'allemand, langue qu'il enseigne de 1976 à 1985, d'abord au collège climatique de La Bourboule, puis à Hambourg, et enfin au collège de Cany-Barville où il reste 5 ans
Il choisit à cette époque de se consacrer au théâtre et crée alors deux solos clownesques, joué plus de 600 fois en France et un peu partout dans le monde[2]. Il passe ensuite à la mise en scène de pièces de Brecht, Cocteau ou Shakespeare, avant de se consacrer à l’écriture.
En 1997, il publie son premier roman Histoire de l'enfant et de l'œuf.
Il est l'auteur entre autres de La Rivière à l'envers, L'Enfant Océan, Le Combat d'hiver, Le Chagrin du roi mort, romans dont plusieurs sont couronnés de prix littéraires[3] décernés par des jurys de jeunes lecteurs ou d'adultes, tels que le prix des Incorruptibles ou le prix Sorcières, qu'il a obtenus plusieurs fois. Il est traduit dans une vingtaine de langues.
Son roman Terrienne a obtenu en 2011 le prix Utopiales européen jeunesse[4] , en 2013 le Prix Farniente[5] et le Prix Ados Rennes/Ille et Vilaine, ainsi qu'une quinzaine d'autres récompenses.
En 2013, il est ambassadeur des Pépites 2013[6] lors du Salon du livre et de la presse jeunesse de Montreuil (Seine-Saint-Denis), avec Catherine Meurisse comme ambassadrice.
Jean-Claude Mourlevat a obtenu de nombreux prix littéraires[3], et parmi eux :