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Cote | Localisation | Statut |
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BD GAL | La bulle Plus de détails sur cet exemplaire Code-barres: 1023694577 |
Auteur | Laurent Galandon [scénariste] |
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Titre | 4 : La boîte aux souvenirs / scénario de Laurent Galandon ; illustré par Hamo. |
Editeur | Bamboo, 2013. |
Collection | Grand angle |
Description | 48 p. : ill. en coul, couv ill. en coul |
Langue | Français. |
Centre d'intérêts | Bande dessinée adulte |
Autres auteurs | Hamo [illustrateur] |
Placées chez Berthe, une vieille guérisseuse engagée dans la résistance, Ada et Luçja, devenues Camille et Alice, vont une fois de plus être obligées de fuir pour survivre. Elles croient trouver la paix en zone libre dans une colonie d’enfants juifs protégés par le docteur Zimmerman. Malheureusement, en cet hiver 1942, les blindés nazis traversent la ligne de démarcation... Un magnifique point final à la fresque historique sensible en deux cycles de Laurent Galandon sur la déportation d’enfants juifs.
Médias
Pierre-Yves Berhin, dit Hamo, est un illustrateur et musicien belge, né à Namur le .
Il est le dessinateur des séries BD Special Branch, L'envolée Sauvage, La Malbête et Noirhomme. Il est aussi accordéoniste diatonique, auteur et compositeur dans plusieurs formations allant du folk à la chanson française. Il est un des fondateurs du groupe de chanson française festive Camping sauvach.
Pierre-Yves Berhin débute sa formation dès l'âge de onze ans, à l'Académie des beaux Arts de Namur. Sept ans plus tard, une bourse lui est octroyée au moment d'entrer à Saint-Luc Liège, où il peaufinera son art. Il s'inscrit dans la section illustration, où il découvre la BD et décide de s'y atteler.
Un premier prix « Jeunes talents de la bande dessinée en Communauté française de Belgique » reçu lors de la fête de la BD à Andenne, en 2002, l'introduit dans le milieu. L'ASBL organisatrice, La grande ourse, lui donnera l'occasion de présenter quelques premières planches au Festival d'Angoulême et de nouer ainsi contacts avec les professionnels.
C'est sur Internet, ensuite, que d'autres relations se tissent, notamment au sein du forum thématique « Café salé »[1].
Après quelques publications d'histoires courtes dans le Journal de Spirou, (en 2005, aux côtés de Zidrou notamment) il signe avec ses comparses Antoine Maurel (Scénariste) et Benoît Bekaert (Coloriste) une première série chez Casterman. Noirhomme (polar fantastique) se décline en trois tomes : Ouverture (2007), Sacrifices (2008) et Échec (2010), porteurs chacun d'un titre en rapport avec la partie d'échecs qui se joue au cœur du Paris des années 1830.
En 2009, Hamo fait la connaissance du scénariste Roger Seiter (Fog, Dies Irae, HMS…), avec qui il publie une nouvelle série intitulée Special Branch. Un premier triptyque voit rapidement le jour (La course du Léviathan, L'agonie du Léviathan et L'éveil du Léviathan), publiés entre 2011 et 2013. Special Branch devient une série d'enquêtes en one shot, avec la sortie de Londres Rouge (2014) et de Paris la noire (2015).
En parallèle, il travaille avec Laurent Galandon sur le second diptyque de L'envolée sauvage, récit initialement dessiné par Arno Monin chez Grand Angle - Bamboo. On y suit le parcours mouvementé d'Ada et Lucja, deux petites juives dont la famille subit en 1942 la rafle du Vélodrome d'Hiver.
Il participe en 2014 au collectif de bande dessinée il était une fois 1914, aux côtés de Francis Carin, Marco Venanzi et Philippe Jarbinet.
Il illustre les aventures du jeune Barthélemy, dans La Malbête, récit inspiré du mythe de la bête du Gévaudan et édité en diptyque par Bamboo, collection Grand Angle.
Hamo travaille également dans l'illustration Jeunesse (Je bouquine - Bayard), le storyboard et la publicité.
Pierre-Yves Berhin découvre l'accordéon diatonique à six ans et demi. Plus tard, il accompagne les danseurs de la Frairie des Masuis et cotelis jambois. Il anime ensuite des bals folks avec un groupe Crépuskull formé aux stages de Borzée et monte un trio de musique de rue (Folkaprika).
En 2001, il fait la connaissance de Rémi Decker aux rencontres internationales de Flanders Ethno. Ils remportent en 2002 le premier prix du Concours de duo du Festival des Luthiers et Maîtres sonneurs de Saint-Chartier, en France ainsi que l'équivalent belge flamand : le Speelmanstreffen de Gooik. Rejoints par Alon Tamir et Renaud Baivier sous le patronyme 'k voel me belg, ils sont remarqués par Didier Melon (Le Monde est un village - RTBF) et aligneront trois plages sur le vol. 4 des disques souvenirs de l'émission.
Pierre-Yves Berhin est alors sollicité par le groupe Bruxellois néerlandophone Bub avec qui il expérimentera une forme de folk tournée vers le jazz et la fusion. Sans renier ses racines traditionnelles, le musicien s'oriente alors vers d'autres influences. En 2003, il fonde Camping Sauvach, projet de « musique festive aux accents tziganes » pour lequel il est compositeur mais également auteur de certains textes. Il produit avec Matthieu Hendrick 3 albums (Petit Monde en 2006, Du vent dans les plumes en 2008 et L'oiseau de nuit en 2012), qui verront se succéder deux chanteurs (Didier Galand et Matthieu Belette) mais aussi de nombreux musiciens et musiciens invités (Rémi Decker, Sophie Cavez, etc.).
En 2013, après dix ans de scène et des centaines de représentations, le groupe met fin à ses activités. En 2014, Pierre-Yves Berhin rejoint Those Fucking Bells, un projet de chansons irlandaises de pub.
Il a également collaboré avec Alix Leone (lauréate du Francoff' 2006 et du prix Belle à chanter en 2007), le Boyz Bande dessinée (aux côtés d'auteurs de BD tels que Janry, Batem, Gihef et Yvan Delporte), Raphy Raphaël et Les déménageurs (avec Yves Barbieux et Perry Rose).
Costume de marin, cheveux bruns, anneau à l'oreille gauche. La silhouette élancée et élégante. Une lueur d'amusement et d'ironie bienveillante dans le regard. L'air de se tenir à distance. L'art d'observer choses et gens avec détachement. Certains le disent pirate. Lui se prétend gentilhomme de fortune... Ainsi apparaît Corto Maltese, fils d'une gitane andalouse et d'un marin des Cornouailles. Une gueule, une personnalité, un destin. Une légende de la bande dessinée devenue légende tout court. Certes, Corto est une créature de [...] papier, inventée par le grand Hugo Pratt. Mais à force de le voir hanter notre imaginaire, on finit par s'interroger. Et s'il avait réellement existé ? Et si Pratt ne s'était fait que le dépositaire de ses souvenirs, l'humble biographe d'une destinée trop belle pour n'être qu'une simple fiction ? Corto Maltese voit le jour en 1967, dans La Ballade de la mer salée. Piètres débuts : quand le lecteur fait sa connaissance, il est torse nu, pas rasé, pieds et mains attachés à un radeau grossier, en train de dériver au gré des courants du Pacifique. Mais très vite, Hugo Pratt en fait son personnage fétiche et lui offre une vie hors du commun. Corto a traversé le siècle et parcouru le vaste monde. Sa route a croisé celles de grandes figures de l'Histoire. Il s'est initié aux mystères de l'ésotérisme, frotté aux secrets de la kabbale et de la franc-maçonnerie. Mais s'est toujours voulu un homme libre, refusant tout embrigadement, gardant ses distances avec les dogmes et les drapeaux de toutes sortes. Un homme également libre de tout engagement avec les femmes, même si elles occupent une place essentielle dans l'existence de cet incorrigible romantique. Et puis, un jour des années trente, quelque part du côté de l'Espagne, alors que tonnent les canons de la guerre civile, on perd sa trace. Corto, pourtant, n'est pas mort. Il s'est simplement retiré pour achever sa vie près de l'océan Pacifique, à l'abri du tumulte du monde. Mais Corto Maltese reste à jamais présent pour ses lecteurs, qui puisent dans les livres d'Hugo Pratt de quoi nourrir leurs rêves d'ailleurs. --Gilbert Jacques
Costume de marin, cheveux bruns, anneau à l'oreille gauche. La silhouette élancée et élégante. Une lueur d'amusement et d'ironie bienveillante dans le regard. L'air de se tenir à distance. L'art d'observer choses et gens avec détachement. Certains le disent pirate. Lui se prétend gentilhomme de fortune... Ainsi apparaît Corto Maltese, fils d'une gitane andalouse et d'un marin des Cornouailles. Une gueule, une personnalité, un destin. Une légende de la bande dessinée devenue légende tout court. Certes, Corto est une créature de [...] papier, inventée par le grand Hugo Pratt. Mais à force de le voir hanter notre imaginaire, on finit par s'interroger. Et s'il avait réellement existé ? Et si Pratt ne s'était fait que le dépositaire de ses souvenirs, l'humble biographe d'une destinée trop belle pour n'être qu'une simple fiction ? Corto Maltese voit le jour en 1967, dans La Ballade de la mer salée. Piètres débuts : quand le lecteur fait sa connaissance, il est torse nu, pas rasé, pieds et mains attachés à un radeau grossier, en train de dériver au gré des courants du Pacifique. Mais très vite, Hugo Pratt en fait son personnage fétiche et lui offre une vie hors du commun. Corto a traversé le siècle et parcouru le vaste monde. Sa route a croisé celles de grandes figures de l'Histoire. Il s'est initié aux mystères de l'ésotérisme, frotté aux secrets de la kabbale et de la franc-maçonnerie. Mais s'est toujours voulu un homme libre, refusant tout embrigadement, gardant ses distances avec les dogmes et les drapeaux de toutes sortes. Un homme également libre de tout engagement avec les femmes, même si elles occupent une place essentielle dans l'existence de cet incorrigible romantique. Et puis, un jour des années trente, quelque part du côté de l'Espagne, alors que tonnent les canons de la guerre civile, on perd sa trace. Corto, pourtant, n'est pas mort. Il s'est simplement retiré pour achever sa vie près de l'océan Pacifique, à l'abri du tumulte du monde. Mais Corto Maltese reste à jamais présent pour ses lecteurs, qui puisent dans les livres d'Hugo Pratt de quoi nourrir leurs rêves d'ailleurs. --Gilbert Jacques
Placées chez Berthe, une vieille guérisseuse engagée dans la résistance, Ada et Luçja, devenues Camille et Alice, vont une fois de plus être obligées de fuir pour survivre. Elles croient trouver la paix en zone libre dans une colonie d’enfants juifs protégés par le docteur Zimmerman. Malheureusement, en cet hiver 1942, les blindés nazis traversent la ligne de démarcation... Un magnifique point final à la fresque historique sensible en deux cycles de Laurent Galandon sur la déportation d’enfants juifs.