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Cote | Localisation | Statut |
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R ATW | Les Romans Plus de détails sur cet exemplaire Code-barres: 1226484577 |
Auteur | Margaret Atwood [auteur] |
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Titre | Graine de sorcière / Margaret Atwood ; traduit de l'anglais par Michèle Albaret-Maatsch. |
Editeur | Paris : Laffont, 2019. |
Collection | Pavillons |
Description | 352 p. ; 21 cm |
Langue | Français. |
Langue d'origine | Anglais. |
Centre d'intérêts | Roman adulte |
Autres auteurs | Michèle Albaret-Maatsch [traducteur] |
Injustement licencié de son poste de directeur du festival de Makeshiweg, au Canada, alors qu'il mettait en scène La Tempête de Shakespeare, Felix décide de disparaître. Il change de nom et s'installe dans une maisonnette au coeur de la forêt pour y panser ses blessures, pleurer sa fille disparue. Et préparer sa vengeance. Douze années passent et une chance de renaître se présente à Felix lorsqu'on lui propose de donner des cours de théâtre dans une prison. Là, enfin, il pourra monter La Tempête avec sa troupe de détenus, et [...] tendre un piège aux traîtres qui l'ont détruit. Mais la chute de ses ennemis suffira-t-elle pour qu'il s'élève de nouveau ?...
Médias
Margaret Eleanor « Peggy » Atwood, née le à Ottawa, Ontario, est une romancière, poétesse et critique littéraire canadienne[1]. Elle est l'un des écrivains canadiens les plus connus.
Née à Ottawa, Ontario, Margaret Atwood est la fille de Carl Edmund Atwood, zoologue, et de Maragaret Dorothy Killiam, nutritionniste. Du fait du métier de son père, Margaret Atwood a passé la majeure partie de son enfance entre les forêts du Nord du Québec, Sault Ste. Marie et Toronto.
Margaret Atwood a commencé à écrire à l’âge de 16 ans. En 1957, elle commence ses études au collège Victoria à l'Université de Toronto. Elle a notamment suivi les cours de Jay Macpherson (en) et Northrop Frye. Elle obtient un baccalauréat ès arts en anglais (avec des mineures en philosophie et en français) en 1961[1].
Après avoir reçu la médaille E. J. Pratt pour son recueil de poème Double Persephone, elle poursuit ses études à Harvard, au Radcliffe College, dans le cadre d’une bourse Woodrow Wilson. Elle est diplômée en 1962 avant de continuer ses études à l'Université Harvard pendant quatre ans.
Elle enseigne à l'Université de Colombie-Britannique (1965), à l'Université Concordia à Montréal (1967-1968), à Université de l'Alberta (1969-1979), à l'Université York à Toronto (1971-1972), et à l'Université de New York.
En 1968, Atwood épouse Jim Polk, mais divorce quelques années plus tard, en 1973. Elle se marie ensuite avec le romancier Graeme Gibson. Elle donne naissance à sa fille Eleanor Jess Atwood Gibson en 1976.
Le prix Arthur C. Clarke lui a été décerné en 1987 pour son roman The Handmaid's Tale, publié en français sous le titre La Servante écarlate.
Elle a remporté le Booker Prize en 2000 pour son roman The Blind Assassin, publié la même année au Canada et en 2002 en France sous le titre Le Tueur aveugle.
Lors de l'élection fédérale canadienne de 2008, elle a accordé son appui au Bloc québécois, parti prônant la souveraineté du Québec[2].
En janvier 2009, une polémique est lancée à Toronto : son livre La Servante écarlate est accusé par un parent d'élève d'être violent, dépravé et tout à la fois anti-chrétien et anti-islamiste [3].
Son œuvre se compose de romans (une trentaine)[1] et de poèmes[4].
Description « Il y aura ce que nous avons été pour les autres, des bribes, des fragments de nous que parfois ils crurent entrevoir. Il y aura ces rêves de nous qu'ils nourrirent, et nous n'étions jamais les mêmes, nous étions chaque fois ces inconnus magnifiques qu'ils inventaient, ces idées de nous telles des ombres fragiles dans de vieux miroirs oubliés au fond des chambres, et qui ajoutées à nos propres rêves, nos propres et inlassables tentatives de nous-mêmes, composeront durant quelques années encore de la vie sur cette [...] terre cette étrange et brillante, et croirait-on inoubliable mosaïque, où rien ni personne ne permettra de dire vraiment qui nous fûmes. » Les Petites Terres est un récit d'un seul tenant, tout entier livré à l'évocation d'un amour dont la secrète permanence - au-delà des déchirements, de l'exil et de l'ultime séparation - est la part lumineuse du dernier livre de Michèle Desbordes.