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Cote | Localisation | Statut |
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R VIO | Albums & Romans Plus de détails sur cet exemplaire Code-barres: 1103294577 Identifiant: Roman explorateur |
Auteur | Judith Viorst [auteur] |
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Titre | 2 : Lulu n'a peur de rien / Judith Viorst ; illustré par Lane Smith ; traduit de l'américain par Natalie Zimmermann. |
Editeur | Toulouse : Milan, 2014. |
Description | 154 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 24 cm |
Langue | Français. |
Langue d'origine | Anglais. |
Centre d'intérêts | Roman jeunesse explorateur |
Autres auteurs | Lane Smith [illustrateur] Natalie Zimmermann [traducteur] |
Lulu est têtue, c'est bien connu. Depuis toujours, elle rêve d'une chose (et d'une seule), que ses parents ne peuvent pas lui offrir. Alors Lulu, qui n'a peur de rien (vous le savez bien), décide de gagner de l'argent. Assez pour s'offrir son rêve. A savoir beaucoup, BEAUCOUP d'argent. Heureusement (vraiment?), Fleichmann, le trop gentil, le trop poli, l'insupportable Fleichmann, est là pour aider.
Médias
Judith Viorst (née le ) est une écrivaine et journaliste américaine. Elle est connue pour ses poèmes et romans de littérature enfantine comme « The Tenth Good Thing About Barney » (l'histoire du deuil face la mort d'un animal de compagnie), la série de nouvelles « Alexander » et le best-seller Les renoncements nécessaires.
À la fin des années 1970, après deux décennies consacrées à l'écriture de romans et essais pour adultes et enfants, elle se tourne vers l'étude de la psychanalyse et sort diplômée en 1981 du Washington Psychoanalytic Institute.
-La force, c'est de pouvoir casser une barre de chocolat en quatre et de n'en manger qu'un carré.
Entretien exclusif Amazon avec Jeff Kinney : Question : Entre la conception de jeux vidéos, l'adaptation cinématographique de Journal d'un dégonflé et les autres emplois que vous cumulez, avez-vous un moment particulier dédié à l'écriture ? Kinney : Je considère encore l'écriture comme un loisir. J'écris surtout la nuit, parfois le week-end. Mais lorsqu'une date limite se rapproche, mon temps de loisir se prolonge jusqu'aux petites heures du matin. Il n'est pas rare que je travaille jusqu'à 4 heures, et je reprends [...] généralement le travail à 9 heures. Q : Avez-vous eu le droit de choisir le personnage que vous jouez dans les films Journal d'un dégonflé (M. Hills) ? Qu'aimez-vous le plus dans ce travail d'adaptation ? Kinney : Je n'avais pas particulièrement envie d'apparaître dans les films, mais un jour, ma femme m'a encouragé à faire le figurant dans une scène de foule. Je suis donc arrivé sur le plateau de tournage et j'ai demandé à l'assistant réalisateur de me mettre quelque part dans le fond. Il se trouve qu'au même moment, le réalisateur cherchait quelqu'un pour jouer le rôle de M. Hills, le père de Holly Hills. Je n'avais pas réalisé que je serai au premier plan, en plein milieu dans la scène de l'église, et que je serai davantage mis en avant dans le film suivant. Je suis terriblement complexé, alors me retrouver devant une caméra était une expérience difficile pour moi. Q : En 2009, le Time vous a désigné comme l'une des 100 personnalités les plus influentes au monde. Quelle est la première chose que vous ayez faite après cette nouvelle ? Kinney : Je me suis dit que c'était un canular, alors j'ai essayé de trouver qui en était l'auteur. J'ai fini par tomber sur le message vocal d'un reporter qui disait travailler pour le Time et à ce stade, je me disais que c'était juste un canular très bien orchestré. Il m'a fallu du temps pour réaliser que c'était vrai. C'est un grand honneur, mais je ne le prends pas vraiment au sérieux. Je suis la quatrième personne la plus influente de ma famille. Q : Envisageriez-vous de faire de Journal d'un dégonflé une bande dessinée pour la presse ou d'en créer une nouvelle ? Y a-t-il une bande dessinée que vous ayez lu récemment qui vous ait particulièrement plu ? Kinney : J'y ai déjà pensé. Je voulais devenir dessinateur pour la presse, mais je n'ai pas réussi à percer. J'aime la liberté que les livres me donnent, ce serait donc difficile de condenser mes idées dans trois ou quatre cases. Q : Quelle est, ou quelle pourrait être votre devise dans la vie ? Kinney : C'est une citation de Benjamin Franklin qui m'a encouragé à écrire : "Bien fait vaut mieux que bien dit." Mais j'encourage toujours les enfants à "créer quelque chose de génial", car ils disposent de bien plus d'outils pour créer des choses originales permettant de trouver un public que par le passé. Q : Quelle a été votre année préférée à l'école, et pourquoi ? Kinney : L'année que j'ai préférée était la sixième. J'avais une prof géniale, Mme Norton, qui m'encourageait à être drôle et m'a stimulé à devenir un meilleur artiste et humoriste. J'appréciais le fait qu'elle ne me dorlote pas. Q : Aujourd'hui, les enfants demandent un livre "comme Journal d'un dégonflé" et en plus de cela, vous avez écrit une toute nouvelle série pour les jeunes lecteurs. Qu'est-ce que ça fait d'être à l'origine d'un tel plaisir de lire, d'avoir séduit les lecteurs les plus réticents, et d'avoir engendré de nombreux autres ouvrages aspirant à être le nouveau "Journal d'un dégonflé" ? Kinney : Je suis content que les enfants lisent. Je pense que les romans graphiques plaisent aux enfants qui ont tendance à voir les livres comme des devoirs. Lire devrait être quelque chose d'amusant !
Lulu est têtue, c'est bien connu. Depuis toujours, elle rêve d'une chose (et d'une seule), que ses parents ne peuvent pas lui offrir. Alors Lulu, qui n'a peur de rien (vous le savez bien), décide de gagner de l'argent. Assez pour s'offrir son rêve. A savoir beaucoup, BEAUCOUP d'argent. Heureusement (vraiment?), Fleichmann, le trop gentil, le trop poli, l'insupportable Fleichmann, est là pour aider.