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Dans le cadre d'un stage, Théodore Atem intègre une équipe de chercheurs basée en Suède qui travaille sur la communication des arbres entre eux et avec nous. Ce groupe de travail dirigé par le professeur Frawley et son assistante Moon, tente de démontrer que les arbres détiennent les secrets de la Terre à travers leur ADN, leur codex. C'est en recoupant ces génomes avec la mort mystérieuse de promeneurs en forêt espagnole, le comportement inhabituel des animaux sauvages et la présence de champignons toxiques que le professeur [...] comprendra, hélas trop tard, que ces événements sonnent l'alerte d'un drame planétaire duquel seul Théodore et quelques survivants seront épargnés. Serait-ce une nouvelle chance pour l'espèce humaine ?
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Wikipedia
Zep, né Philippe Chappuis le à Onex, Genève, Suisse, est un auteur suisse de bandes dessinées dont la plus connue est Titeuf. Il prend le pseudonyme « Zep » en hommage au groupe Led Zeppelin qui est son groupe préféré. Il habite dans la commune de Genève[1],[2].
L'immense succès obtenu avec Titeuf (un million d'albums vendus fin 1998, 16 millions traduits en 25 langues en 2008[2]) a permis à Zep de tenter des paris plus audacieux, comme Le Guide du zizi sexuel écrit par son ex-épouse Hélène Bruller (petite-fille de Jean Bruller), vendu à plus de trois millions d'exemplaires, le magazine Tchô! en 1998 (qui porte le nom de l'interjection favorite de Titeuf) et en parrainant de jeunes auteurs dans la série de bandes dessinées jeunesse Tchô! La collec'.
Zep est également amateur de musique (rock essentiellement et fan de Bob Dylan), d'où son pseudonyme hommage au groupe Led Zeppelin. Cette passion et la fréquentation des concerts de musique lui ont inspiré L'enfer des concerts, publié en 1999. De plus, il a formé un premier groupe de musique appelé Zep'n'Greg, rappelant parfois le style du Beau Lac de Bâle, et sorti deux disques avec des chansons humoristiques telles que : Dieu m'a changé en Suisse-Allemand, Pôv'Type Song, ou Les couilles à tonton. Après s'être séparés, Zep et quatre de ses amis ont reformé un nouveau groupe nommé Blük Blük[3]. Ils chantaient des chansons à messages humoristiques comme Légalisez le Cenovis, Où sont les groupies ?, Moi je suce des Sugus, Le rebelle suisse, etc. L'aventure de Blük Blük s'est arrêtée officiellement le , à la suite du départ du chanteur du groupe : Ernest Blük. En 2006, il réalise le visuel du festival de musique Musiques en Stock.
En 2015, Zep signe le scénario d'un conte pornographique dessiné par Vince, Esmera aux éditions Glénat[5].
En 2016, il propose une relecture de l'histoire de l'Art pour l'Open Museum du palais des beaux-arts de Lille[6]. Autour de l'Art, il réalise des dessins, des projections et d'autres surprises éparpillés dans le musée. Une salle est également consacrée à des dessins réalisés tout au long de sa carrière.
Le trait de Zep alterne entre la ligne claire des albums de Titeuf et des dessins plus relâchés, notamment des aquarelles comme dans ses carnets de voyage ou son travail de conception graphique et d'illustration du disque Chansons pour les pieds de Jean-Jacques Goldman (2001). Zep est également un admirateur des bandes dessinées de Carl Barks et a profité de présider le festival d'Angoulême 2005 pour y inviter Don Rosa, l'un des successeurs de Barks.
La justesse et l'originalité des histoires de Zep, son style personnel et son immense succès critique et public lui ont valu la reconnaissance de ses pairs. Après l'hommage qu'il leur a rendu dans Mes héros de la Bande Dessinée, de nombreux auteurs (Bilal, Dupuy-Berberian, Moebius, Loustal, Jacques Tardi, Uderzo…) lui ont rendu la pareille dans l'expo « Portraits de Titeuf » accompagnée du livre du même nom (Glénat).