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Un bourg du Cher en 1908. Le riche Anselme de Boisvaillant « engrosse » Céleste, la jeune bonne de dix-sept ans, contre son gré. Victoire, son épouse délaissée, décide de faire de l’enfant l’héritier tant espéré. Tout va rapprocher ces deux femmes mal aimées, et créer des liens d’une intensité libératrice.
En 1908, après cinq années de mariage, Victoire et Anselme de Boisvaillant n'arrivent pas à avoir d'enfant. Céleste, la petite bonne de 17 ans, tombe enceinte. L'enfant est adopté par le couple. Mais Victoire ne sait pas s'y prendre avec le nourrisson. Grand prix RTL-Lire 2015, prix des libraires 2015.
1908... Victoire est mariée depuis cinq ans avec Anselme de Boisvaillant. Rien ne destinait cette jeune fille de son temps... à prendre en mains sa destinée. Sa détermination se montre pourtant sans faille lorsque la petite bonne de dix-sept ans, Céleste, tombe enceinte : cet enfant sera celui du couple, l'héritier Boisvaillant tant espéré.... Mais Victoire n'a pas la fibre maternelle... Céleste, mue par son instinct, décide de porter secours à l'enfant... Quand une nuit Victoire s'éveille seule, ses pas la conduisent vers la [...] chambre sous les combles. Les barrières sociales et les convenances explosent alors...
Un bourg du Cher en 1908. Le riche Anselme de Boisvaillant « engrosse » Céleste, la jeune bonne de dix-sept ans, contre son gré. Victoire, son épouse délaissée, décide de faire de l’enfant l’héritier tant espéré. Tout va rapprocher ces deux femmes mal aimées, et créer des liens d’une intensité libératrice.
"Année après année, Mathilde revint à la charge. Chaque été, quand soufflait le chergui et que la chaleur, écrasante, lui portait sur les nerfs, elle lançait cette idée de piscine qui révulsait son époux. Ils ne faisaient aucun mal, ils avaient bien le droit de profiter de la vie, eux qui avaient sacrifié leurs plus belles années à la guerre puis à l'exploitation de cette ferme. Elle voulait cette piscine, elle la voulait en compensation de ses sacrifices, de sa solitude, de sa jeunesse perdue".
1968 : à force de ténacité, [...] Amine a fait de son domaine aride une entreprise florissante. Il appartient désormais à une nouvelle bourgeoisie qui prospère, fait la fête et croit en des lendemains heureux. Mais le Maroc indépendant peine à fonder son identité nouvelle, déchiré entre les archaïsmes et les tentations illusoires de la modernité occidentale, entre l'obsession de l'image et les plaies de la honte...
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"Année après année, Mathilde revint à la charge. Chaque été, quand soufflait le chergui et que la chaleur, écrasante, lui portait sur les nerfs, elle lançait cette idée de piscine qui révulsait son époux. Ils ne faisaient aucun mal, ils avaient bien le droit de profiter de la vie, eux qui avaient sacrifié leurs plus belles années à la guerre puis à l'exploitation de cette ferme. Elle voulait cette piscine, elle la voulait en compensation de ses sacrifices, de sa solitude, de sa jeunesse perdue".
1968 : à force de ténacité, [...] Amine a fait de son domaine aride une entreprise florissante. Il appartient désormais à une nouvelle bourgeoisie qui prospère, fait la fête et croit en des lendemains heureux. Mais le Maroc indépendant peine à fonder son identité nouvelle, déchiré entre les archaïsmes et les tentations illusoires de la modernité occidentale, entre l'obsession de l'image et les plaies de la honte...
Orpheline, Mathilde a grandi dans un pensionnat au Puy-en-Velay. En 1913, lors d’une promenade, elle croise Armand, l’unique fils de la prospère famille Josserand. C’est le coup de foudre. Mais les parents du jeune homme font tout pour éloigner la jeune fille : Armand est déjà promis. En outre, Mathilde n’est qu’une simple lingère, et surtout elle serait la fille d’une criminelle, Lise Leclerc, condamnée au bagne pour le meurtre de quatre personnes.
Sur fond de crise, la casse sociale bat son plein : vies jetables et existences sacrifiées. Mais les licenciements boursiers ne sont que les manifestations les plus visibles d'un phénomène dont il faut prendre toute la mesure : nous vivons une phase d'intensification multiforme de la violence sociale. Mêlant enquêtes, portraits vécus et données chiffrées, Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot dressent le constat d'une grande agression sociale, d'un véritable pilonnage des classes populaires : un monde social fracassé, au bord de [...] l'implosion...
«There is no society» : la société, ça n'existe pas. C'est en octobre 1987 que Margaret Thatcher prononce ces mots. Depuis, son message a été entendu par l'ensemble des classes dominantes occidentales. Il a pour conséquence la grande sécession du monde d'en haut qui, en abandonnant le bien commun, plonge les pays occidentaux dans le chaos de la société relative. La rupture du lien, y compris conflictuel, entre le haut et le bas, nous fait basculer dans l'a-société... La crise de la représentation politique, l'atomisation des [...] mouvements sociaux, la citadellisation des bourgeoisies, le marronnage des classes populaires et la communautarisation sont autant de signes de l'épuisement d'un modèle qui ne fait plus société. La vague populiste qui traverse le monde occidental n'est que la partie visible d'un soft power des classes populaires qui contraindra le monde d'en haut à rejoindre le mouvement réel de la société ou bien à disparaître.
“A novel to cure your Downton Abbey withdrawal . . . a delightful story about nontraditional romantic relationships, class snobbery and the everybody-knows-everybody complications of living in a small community.