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Il existe un pays où les gens ne parlent presque pas. Dans cet étrange pays, il faut acheter les mots et les avaler pour pouvoir les prononcer. Le petit Philéas a besoin de mots pour ouvrir son cœur à la jolie Cybelle. Mais comment faire ? Car, pour tout ce qu'il a envie de dire à Cybelle, il y en a pour une fortune...
Une appli existe à partir de cet album.
20 authentiques proverbes venus d’Afrique, pour nous faire rire et nous faire réfléchir. A y regarder de près, ils ont des cousins bien de chez nous (à découvrir en fin d’album). Notre culture française ne manque pas de beaux proverbes. Mais à force de les entendre, nous surprenons-nous encore des images qu’ils proposent ? Il suffit parfois de sortir de ses frontières, de tâter d’un peu d’exotisme pour retrouver leur magie. Notre langue n’en sera que plus riche.
Chaque matin, Léopold se fait moquer et rabaisser par un ogre et ses comparses. L'angoisse le submerge tant qu'il ne veut plus aller à l'école. Le loup, qui observe le manège depuis le début, décide de coacher Leopold. Un entraînement intensif qui lui permettra de renverser la situation. Un texte important où les harceleurs prennent l'aspect d'ogres effrayant les enfants sur les chemins de l'école.
Benjamin a raté sa rentrée dans sa nouvelle école. Allez savoir pourquoi. Il était pourtant habillé et coiffé normalement, avec un cartable même pas ringard. Il aurait peut-être dû rire en arrivant, ou au moins sourire un peu, ou alors pas du tout ? Avoir l’air assuré, ou même arrogant ? Quoi qu’il en soit, les AUTRES l’ont appelé « Tête de hareng » et lui ont ordonné d’aller rejoindre, sous le préau, les autres zéros : « Ampoule-man », « Dents-de-vache » et « Mange-poubelle ». Benjamin ne les aime pas, les [...] autres « zéros », et il trouve qu’ils ont bien mérité leur sobriquet.
Lui, par contre, il n’a rien à voir avec eux, il n’est pas une tache ! Pourtant, il fera ce que les AUTRES ont décidé ; il a même dû signer un papier avec le règlement pour les Zéros. Et les jours se succèdent, plus lourds à porter les uns que les autres... Il n’y aura pas de solution miracle pour Benjamin et ses alliés malgré lui... mais, tout de même, ils découvriront que la soli-da-rité peut leur apporter un certain répit.
Pendant sept ans, un stylo-plume circule par les voies les plus improbables, perdu, volé consciemment ou pas, retrouvé, admiré en tant que bel objet ou considéré comme un simple outil. Rédaction, liste de courses, carte postale, tract à boîte aux lettres, pièce de théâtre : il écrit tout ce qu'on lui dicte, révélant des vies, des parcours, des envies et parfois des regrets. Les chapitres sont très courts, exprimant soit ce qui fut écrit soit ce que pensait celui qui tenait le stylo.
Ernest en a assez de faire un super long détour pour rentrer chez lui après l'école. Alors, aujourd'hui, il va passer sous le pont, même si c'est dangereux, même si son papa le lui a interdit, même si Madeline lui répète que c'est risqué. Ernest n'est pas un trouillard ! Mais, arrivé là-bas, il fait sombre et humide, et une forme indistincte bouge le long du mur...
Retourne d'où tu viens, disent les enfants à Sarah, la nouvelle du quartier, qui essaie de se faire des amis. C'est où, en fait, d'où elle vient ? La ville d'à côté, là où elle habitait avant ? Le pays de son papa, qu'elle n'a jamais visité ? Ou tout simplement son appartement ? Sarah et sa maman viennent d'emménager dans un immeuble. La petite fille a envie de se faire des amis, mais les autres enfants la chassent en lui disant de retourner d'où elle vient.
Alors Sarah s'isole et se plonge dans son livre préféré : un livre sur [...] les Indiens. Elle aime bien les Indiens, car ils ont les cheveux noirs et lisses comme les siens et ceux de son père. Si seulement elle pouvait avoir un cheval, comme eux ! Mais quand elle en parle à sa maman, celle-ci lui répond qu'un cheval sera trop grand pour l'ascenseur. La petite fille se dit qu'elle doit trouver plus petit : un poney ! Ca tombe bien, le magasin Bric & Broc, le magasin qui vend de tout, en a un.
Mais c'est un poney un peu spécial...
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Retourne d'où tu viens, disent les enfants à Sarah, la nouvelle du quartier, qui essaie de se faire des amis. C'est où, en fait, d'où elle vient ? La ville d'à côté, là où elle habitait avant ? Le pays de son papa, qu'elle n'a jamais visité ? Ou tout simplement son appartement ? Sarah et sa maman viennent d'emménager dans un immeuble. La petite fille a envie de se faire des amis, mais les autres enfants la chassent en lui disant de retourner d'où elle vient.
Alors Sarah s'isole et se plonge dans son livre préféré : un livre sur [...] les Indiens. Elle aime bien les Indiens, car ils ont les cheveux noirs et lisses comme les siens et ceux de son père. Si seulement elle pouvait avoir un cheval, comme eux ! Mais quand elle en parle à sa maman, celle-ci lui répond qu'un cheval sera trop grand pour l'ascenseur. La petite fille se dit qu'elle doit trouver plus petit : un poney ! Ca tombe bien, le magasin Bric & Broc, le magasin qui vend de tout, en a un.
Mais c'est un poney un peu spécial...
La traditionnelle nuit de voiture qui précède les vacances, décrite avec beaucoup d'humour, tendresse et justesse. Cette nuit, toute la famille part en vacances dans un pays étranger. Il faut charger la voiture, dormir un peu avant, et puis c'est parti. Mais la route, c'est long, surtout la nuit. Alors, on dort, on lit un livre, on écoute de la musique, on traverse des frontières... Partir en voyage de nuit, c'est une grande aventure !
Quel est ce vilain petit nuage qui m’entoure, me rend triste et m’empêche d’aller vers les autres ? Avec une stupéfiante économie de mots, une simplicité épurée à l’extrême dans l’illustration et une tendresse infinie, Claude K. Dubois nous livre un charmant petit album à garder contre son coeur dans les moments difficiles. Un livre sur l’amitié, le réconfort et la rencontre de l’autre. Un chef-d’oeuvre d’une grande maturité.