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"C'était la fois de trop. J'ai piqué une crise. Qu'on arrête de chercher d'abord du côté de mes parents ou de mes lointains ancêtres pour savoir qui je suis. Qu'est-ce que ça dit de soi, l'endroit où on est né ? Au moins, toi, tu as fait un pas vers moi en essayant de me retenir. Seulement, moi, ça fait trop longtemps qu'on me met à distance. Des années que tout le monde la ramène sur des racines que je devrais avoir, en oubliant que j'ai des jambes comme tout le monde, avec lesquelles je m'efforce d'avancer...
Je les ai tous [...] envoyés promener et toi avec. C'est triste, parce que jamais je n'ai voulu prendre le risque de te perdre."
"Lina n'était jamais vraiment là. Tout se passait dans son regard. J'en connaissais les nuances, les reflets, les défaites. Une ombre passait dans ses yeux, une ombre dure qui fanait son visage. Elle était là mais elle était loin. Je ne comprenais pas ces sautes d'humeur, ces sautes d'amour". Un dimanche de décembre, une femme livre à ses trois fils le secret qui l'étouffe. En révélant une souffrance insoupçonnée, cette mère niée par les siens depuis l'adolescence se révèle dans toute son humanité et son obstination à vivre [...] libre, bien qu'à jamais blessée...
Une petite annonce dans un journal comme une bouteille à la mer. Hélène cherche la vérité sur sa mère, morte lorsqu’elle avait trois ans. Ses indices : deux noms et une photographie retrouvée dans des papiers de famille, qui montre une jeune femme heureuse et insouciante, entourée de deux hommes qu’Hélène ne connaît pas. Une réponse arrive : Stéphane, un scientifique vivant en Angleterre, a reconnu son père. Commence alors une longue correspondance, parsemée d’indices, d’abord ténus, puis plus troublants. Patiemment, [...] Hélène et Stéphane remontent le temps, dépouillant leurs archives familiales, scrutant des photographies, cherchant dans leur mémoire. Peu à peu, les histoires se recoupent, se répondent, formant un récit différent de ce qu’on leur avait dit. Et leurs découvertes, inattendues, questionnent à leur tour le regard qu’ils portaient sur leur famille, leur enfance, leur propre vie. Avec Eux sur la photo, Hélène Gestern nous livre une magnifique réflexion sur le secret de famille et la mémoire particulière que fixe la photographie. Elle suggère que le dévoilement d’éléments inconnus, la résolution d’énigmes posées par le passé ne suffisent pas : ce qui compte, c’est la manière dont nous les comprenons et dont nous acceptons qu’ils modifient, ou pas, ce que nous sommes.
Harriet a un petit copain merveilleux, des amis géniaux et elle entre dans quelques jours au lycée, autant dire qu'elle est HEU-REUSE ! Mais son bonheur est de courte durée car son père a trouvé du travail... à New York ! En l'espace de vingt-quatre heures, elle quitte l'Angleterre et se retrouve dans une ville triste et perdue de la grande banlieue new-yorkaise. La voilà loin de ses amis, loin de sa vie, très très loin du bonheur. Même les quelques shootings auxquels elle participe en cachette à New York ne suffisent pas à lui [...] remonter le moral. D'autant que, pour couronner le tout, Nick prend de plus en plus ses distances avec elle...
Harriet a un petit copain merveilleux, des amis géniaux et elle entre dans quelques jours au lycée, autant dire qu'elle est HEU-REUSE ! Mais son bonheur est de courte durée car son père a trouvé du travail... à New York ! En l'espace de vingt-quatre heures, elle quitte l'Angleterre et se retrouve dans une ville triste et perdue de la grande banlieue new-yorkaise. La voilà loin de ses amis, loin de sa vie, très très loin du bonheur. Même les quelques shootings auxquels elle participe en cachette à New York ne suffisent pas à lui [...] remonter le moral. D'autant que, pour couronner le tout, Nick prend de plus en plus ses distances avec elle...
Les examens de fin d'année approchent. En vraie pro de l'organisation, Harriet a planifié toutes ses révisions et celles de ses amis... bien malgré eux ! Pourtant elle est loin d'avoir tout prévu : Wilbur a besoin d'elle, son agence est en faillite ! Harriet vole à son secours et décide de devenir un mannequin exemplaire. Elle se met aussi en tête d'organiser les amours de ses amis.
Mais à force de vouloir contrôler leur vie, elle risque de les perdre. Un shooting en Inde va lui apprendre à laisser faire le destin
Les examens de fin d'année approchent. En vraie pro de l'organisation, Harriet a planifié toutes ses révisions et celles de ses amis... bien malgré eux ! Pourtant elle est loin d'avoir tout prévu : Wilbur a besoin d'elle, son agence est en faillite ! Harriet vole à son secours et décide de devenir un mannequin exemplaire. Elle se met aussi en tête d'organiser les amours de ses amis.
Mais à force de vouloir contrôler leur vie, elle risque de les perdre. Un shooting en Inde va lui apprendre à laisser faire le destin
Je m'appelle Harriet Manners et j'ai de la chance. Je sais que j'ai de la chance parce que je suis actuellement assise côté hublot, dans un avion en direction de l'Australie, en compagnie de ma meilleure amie Nat, pour des vacances qui promettent d'être mémorables. A nous Sydney, les plages et la Grande Barrière de corail ! Et avec ma chance, aucun risque de croiser par hasard mon ex-petit-ami australien...
Alors, autant ne pas s'inquiéter, non ?
Je m'appelle Harriet Manners et j'ai de la chance. Je sais que j'ai de la chance parce que je suis actuellement assise côté hublot, dans un avion en direction de l'Australie, en compagnie de ma meilleure amie Nat, pour des vacances qui promettent d'être mémorables. A nous Sydney, les plages et la Grande Barrière de corail ! Et avec ma chance, aucun risque de croiser par hasard mon ex-petit-ami australien...
Alors, autant ne pas s'inquiéter, non ?
Lulu en a marre d'être grondée ! Les adultes ne sont jamais contents d'elle ,quand ce n'est pas sa maîtresse, c'est le surveillant ; quand ce n'est pas le surveillant, ce sont ses parents. A croire que les enfants sont incapables de bien agir. C'est vraiment injuste ! Que faire pour que ça change ?
Lulu en a marre d'être grondée ! Les adultes ne sont jamais contents d'elle ,quand ce n'est pas sa maîtresse, c'est le surveillant ; quand ce n'est pas le surveillant, ce sont ses parents. A croire que les enfants sont incapables de bien agir. C'est vraiment injuste ! Que faire pour que ça change ?
Koloïshmielnik n'est pas un garçon spécialement exigeant ni capricieux, mais il y a une chose qu'il ne supporte plus, vraiment plus, c'est son nom. Il refuse de passer le reste de sa vie à s'appeler Koloïshmielnik, c'est trop pénible de voir les gens écarquiller les yeux et froncer les sourcils devant toutes ces syllabes. C'est donc dans le but de changer de nom que Koloïshmielnik frappe à la porte du sorcier Lokolok. Celui-ci lui propose de voyager dans le temps... et de choisir un nouveau nom si jamais, au cours de son voyage, il [...] croise trois personnes incapables de le prononcer. En quelques instants, Koloïshmielnik se retrouve dans la cabine d'un célèbre capitaine au long cours, qui s'apprête à découvrir l'Amérique sans le savoir. Et qui a beaucoup mieux à faire que de dire "Koloïshmielnik" à un garçon du futur...
Margo Roth Spiegelman, le nom qui fait fantasmer Quentin depuis toujours. Alors forcément, quand elle s'introduit dans sa chambre, un soir, pour l'entraîner dans une expédition vengeresse, il la suit. Mais au lendemain de leur folle nuit blanche, Margo a disparu. Quentin saura-t-il décrypter les indices qu'elle a laissés derrière elle ? Un road-trip jubilatoire, jalonné de vérités profondes sur l'amour, la mort et les désillusions.
Ici, tout part d'un banc, couvert d'inscriptions racistes à l'encontre de son occupant du déjeuner, Alex, jeune Taïwanais vivant avec sa mère (son père est reparti dans leur pays d'origine). Son amie Sybille propose de l'aider à chercher le vandale, forcément un camarade de classe. Mais Alex, mal accepté par la communauté asiatique en raison de l'absence de son père et de sa mauvaise pratique de la langue, mal accepté, donc, à l'école à cause de ses traits tirés caractéristiques, ne va pas supporter la pression et il se [...] retourne contre celle qui le soutenait, puis ment gravement quoique presque à son corps défendant afin de simplement faire partie du groupe.
Petit roman court en « je », Le banc fait le tour complet, avec ses nuances, de la question de l'appartenance : à un groupe ayant en commun son passé (l'immigration), à un groupe de pairs - cruels, c'est l'enfance -, à une famille, ici fragile. Et en négatif, il aborde aussi la question de l'individu, finalement seul à même de se fixer ses valeurs et de prendre ses décisions pour un avenir. L'auteure ne le cache pas, elle s'est inspirée d'expériences personnelles pour bâtir son histoire, la rendant ainsi d'autant plus juste. Et Alex, entre révolte, malaise et souhait d'apaisement, devient un narrateur attachant auquel il est facile de se raccrocher.