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Un jour du printemps 1963, une Dauphine jaune se gare devant le monument aux morts, sur la grand-place de Tilliers, petite ville de la Beauce. Elle transporte Abraham Farkas, médecin rapatrié âgé proche de la cinquantaine et son fils Franz, âgé de neuf ans et demi. Abraham n'a qu'une seule préoccupation : son fils. Franz, lui, en a deux : son père et les livres. Leur vie a été brisée un an plus tôt par un " accident " qui a laissé Franz amnésique et dont Abraham ne parle jamais à son fils. Ils s'installent rue des Crocus, dans [...] la grande maison où Abraham va se remettre à travailler. Ils vont devoir apprendre a vivre avec le reste du monde et à lui faire face, ensemble et séparément. Pour Abraham, qui n'est pas aussi monolithique que son fils le pense, la situation est simple : soigner est son métier, et il va l'exercer à Tilliers comme il le faisait à Alger...
Un jour du printemps 1963, une Dauphine jaune se gare devant le monument aux morts, sur la grand-place de Tilliers, petite ville de la Beauce. Elle transporte Abraham Farkas, médecin rapatrié âgé proche de la cinquantaine et son fils Franz, âgé de neuf ans et demi. Abraham n'a qu'une seule préoccupation : son fils. Franz, lui, en a deux : son père et les livres. Leur vie a été brisée un an plus tôt par un " accident " qui a laissé Franz amnésique et dont Abraham ne parle jamais à son fils. Ils s'installent rue des Crocus, dans [...] la grande maison où Abraham va se remettre à travailler. Ils vont devoir apprendre a vivre avec le reste du monde et à lui faire face, ensemble et séparément. Pour Abraham, qui n'est pas aussi monolithique que son fils le pense, la situation est simple : soigner est son métier, et il va l'exercer à Tilliers comme il le faisait à Alger...
Une invasion armée, c'est une chose, évidemment. Mais Miami est la seule ville d'Amérique et même du monde, à ma connaissance ou une population venue d'un pays étranger, dotée d'une langue et d'une culture étrangères, a immigré et établi sa domination en l'espace d'une génération à peine par la voie des urnes. Je veux parler des Cubains de Miami. Dès que j'ai pris conscience de cette réalité, j'ai trépigné d'impatience : il fallait que j'y aille.
C'est ainsi que j'ai passé deux ans et demi dans la mêlée, en plein coeur [...] de l'immense foire d'empoigne qu'est Miami. Il faut le voir pour le croire ; ou bien (oserais-je le suggérer ?) le lire dans Bloody Miami. Dans ce livre –ou il n'est pas question d'hémoglobine, mais de lignées,, Nestor, un policier cubain de vingt-six ans, se retrouve exilé par son propre peuple de la ville d'Hialeah, la véritable « Little Havana » de Miami, pour avoir sauvé de la noyade un misérable émigrant clandestin de La Havane ; Magdalena, sa ravissante petite amie de vingt-quatre ans, leur tourne le dos, à Hialeah et à lui, pour des horizons plus glamour en devenant la maîtresse d'abord d'un psychiatre, star des plateaux télé et spécialiste de l'addiction à la pornographie, puis d'un « oligarque » russe dont le plus grand titre de gloire est d'avoir donné son nom au Musée des beaux-arts de Miami (en lui vendant des faux pour soixante-dix millions de dollars...) ; un professeur haïtien risque la ruine pour que ses enfants mulâtres soient pris pour des Blancs ; un chef de la police noir décide qu'il en a assez de servir d'alibi à la politique raciale du maire cubain ; le rédacteur en chef WASP de l'unique quotidien anglophone encore publié à Miami, certes diplômé de Yale mais qui ne comprend rien aux contradictions intrinsèques et complètement cinglées de cette ville, meurt de peur de perdre sa place –et ses privilèges ; tandis que son jeune reporter vedette, également sorti de Yale mais qui, lui, a tout compris , s'échine (avec succès et avec l'aide de Nestor, notre jeune policier cubain) à traquer le scoop qui lui permettra de se faire une place à la hauteur de son ambition...
et je n'évoque là que neuf des personnages de Bloody Miami, qui couvre tout le spectre social de cette mégapole multiethnique. J'espère qu'ils vous plairont. C'est un roman, mais je ne peux m'empêcher de me poser cette question : et si nous étions en train d'y contempler l'aurore de l'avenir de l'Amérique ?
"Se réunir en troupeaux de quatre cent mille hommes, marcher jour et nuit sans repos, pourrir de saleté, coucher dans la fange, piller les villes, brûler les villages, ruiner les peuples, puis rencontrer une autre agglomération de viande humaine, se ruer dessus, faire des lacs de sang" : telle est la définition de la guerre selon Maupassant. Les nouvelles rassemblées dans ce recueil, pourtant, ne montrent pas seulement l'effroyable réalité du conflit franco-prussien de 1870.
Normalement, Jocelyn n ' aurait pas dû obtenir une chambre à la Pension Giboulée. Mrs Merle, la propriétaire, est formelle : cette respectable pension new-yorkaise n' accepte aucun garçon, même avec un joli nom français comme Jocelyn Brouillard. Pourtant, grâce à son talent de pianiste, grâce, aussi, à un petit mensonge et à un ingrédient miraculeux qu' il transporte sans le savoir dans sa malle, Jocelyn obtient l ' autorisation de loger au sous-sol. Nous sommes en 1948, cela fait quelques heures à peine qu' il est à New York, [...] il a le sentiment d' avoir débarqué dans une maison de fous...
Normalement, Jocelyn n ' aurait pas dû obtenir une chambre à la Pension Giboulée. Mrs Merle, la propriétaire, est formelle : cette respectable pension new-yorkaise n' accepte aucun garçon, même avec un joli nom français comme Jocelyn Brouillard. Pourtant, grâce à son talent de pianiste, grâce, aussi, à un petit mensonge et à un ingrédient miraculeux qu' il transporte sans le savoir dans sa malle, Jocelyn obtient l ' autorisation de loger au sous-sol. Nous sommes en 1948, cela fait quelques heures à peine qu' il est à New York, [...] il a le sentiment d' avoir débarqué dans une maison de fous...
Janvier 1949. Six. Elles sont six à souffler sur leurs doigts quand le brouillard s'attarde sur New York. Avant de se réchauffer dans la cuisine de l'honorable pension Giboulée, où elles partagent aussi leurs rêves fous, leurs escarpins trop pointus et quelques pancakes joufflus. Un jour, elles seront comédiennes ou danseuses, et Broadway sera à leurs pieds. En attendant, Hadley, Manhattan, Page, Chic, Etchika et Ursula courent les théâtres, les annonces, les auditions, les cachets - New York est une ville fabuleuse à condition [...] d'avoir des sparadraps dans son sac.
Elles ont 19 ans ou à peine plus, et elles donneraient tout pour réussir, elles qui n'ont rien, en dehors de leur talent. Cela peut-il suffire dans cette Amérique d'après-guerre qui ne fait pas de cadeau ? Pas sûr. Mais si elles n'y croient pas, si elles n'y croient pas scandaleusement, qui y croira ?
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Janvier 1949. Six. Elles sont six à souffler sur leurs doigts quand le brouillard s'attarde sur New York. Avant de se réchauffer dans la cuisine de l'honorable pension Giboulée, où elles partagent aussi leurs rêves fous, leurs escarpins trop pointus et quelques pancakes joufflus. Un jour, elles seront comédiennes ou danseuses, et Broadway sera à leurs pieds. En attendant, Hadley, Manhattan, Page, Chic, Etchika et Ursula courent les théâtres, les annonces, les auditions, les cachets - New York est une ville fabuleuse à condition [...] d'avoir des sparadraps dans son sac.
Elles ont 19 ans ou à peine plus, et elles donneraient tout pour réussir, elles qui n'ont rien, en dehors de leur talent. Cela peut-il suffire dans cette Amérique d'après-guerre qui ne fait pas de cadeau ? Pas sûr. Mais si elles n'y croient pas, si elles n'y croient pas scandaleusement, qui y croira ?
L'Inde, si vaste, si densément peuplée, si diversifiée, impressionne et envoûte depuis toujours. Elle entre maintenant dans la modernité et devient, à sa façon, l'une des puissances émergentes du XXle siècle. Or, la complexité de la société indienne et de ses castes peut constituer un défi dans les rapports entre visiteurs et habitants. Ce livre vous donne les clés essentielles pour comprendre l'Inde. Comment cerner les réalités sociales et économiques ? Comment se débrouiller dans la vie quotidienne ? Comment respecter les [...] us et coutumes ? Comment faire des affaires avec ses interlocuteurs indiens ?... l'essentiel à savoir sur l'histoire et la culture indienne,
HISTOIRE ET CIVILISATION INDIENNE. Moments déterminants de l'histoire indienne. Cadre géographique. Arts et culture. VIE AU QUOTIDIEN. Une réelle mosaïque sociale. La santé. L'éducation. VIE EN SOCIETE. La famille, unité de base de la structure sociale. Classes et castes : deux structures forts différentes. Les grands moments de la vie. ECONOMIE DES AFFAIRES ET TRAVAIL. Portrait économique. portrait politique et commercial. Principaux secteurs d'activité
Guerrière apache ou sirène hollywoodienne, gardienne de phare ou créatrice de trolls, gynécologue ou impératrice, les Culottées ont fait voler en éclats les préjugés.Quinze portraits de femmes qui ont inventé leur destin.
Guerrière apache ou sirène hollywoodienne, gardienne de phare ou créatrice de trolls, gynécologue ou impératrice, les Culottées ont fait voler en éclats les préjugés.Quinze portraits de femmes qui ont inventé leur destin.
Thomas, jeune député curieux et constructif, entreprend un voyage d'étude en Rugénie. Réformé sous la houlette de l'économiste Stepan Gloss, ce pays est devenu la vitrine du meilleur des mondes possibles entre services privatisés, cités sans voitures et championnats de la Diversité. Une valise à roulettes en guise de bâton de pèlerin, Thomas s'enchante puis s'étonne devant les contradictions de ce décor idéal : où la pollution des villes est rejetée dans les banlieues ; où la campagne n'est plus qu'un décor vendu à la [...] découpe ; où les vieux Rugènes et leurs habitudes s'opposent aux hipsters épris de tri sélectif... Un clin d'oeil à Voltaire et à Orwell inspire cette fable de plus en plus grinçante : quand la déréglementation de l'économie va de pair avec l'hyperréglementation des libertés individuelles, et quand la guerre s'invite dans le jeu de la communication...
En deux mots : Faut pas prendre les cons pour des gens est un album d'humour absurde sur la bêtise ordinaire, de plus en plus présente autour de nous. À la manière d'un Goossens ou d'un Fabcaro, il tord et maltraite les clichés de la société dans une BD hilarante et grinçante à souhait. Racisme ordinaire, mesures gouvernementales ubuesques, maisons connectées, quotas policiers, surpopulation carcérale, rejet des laissés-pour-compte... Reuzé n'épargne rien ni personne pour notre plus grand plaisir. Côté dessin, il singe la BD [...] contemporaine qui n'hésite pas à reprendre le même dessin sur plusieurs cases.Comme vous l'aurez compris, ce bougre ne prend vraiment rien au sérieux, pas même son éditeur !
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En deux mots : Faut pas prendre les cons pour des gens est un album d'humour absurde sur la bêtise ordinaire, de plus en plus présente autour de nous. À la manière d'un Goossens ou d'un Fabcaro, il tord et maltraite les clichés de la société dans une BD hilarante et grinçante à souhait. Racisme ordinaire, mesures gouvernementales ubuesques, maisons connectées, quotas policiers, surpopulation carcérale, rejet des laissés-pour-compte... Reuzé n'épargne rien ni personne pour notre plus grand plaisir. Côté dessin, il singe la BD [...] contemporaine qui n'hésite pas à reprendre le même dessin sur plusieurs cases.Comme vous l'aurez compris, ce bougre ne prend vraiment rien au sérieux, pas même son éditeur !
En classe de 3e, Mohammed-Ali est discret et populaire. Pour lui, le collège ça roule. Tranquille. En apparence du moins, car il a une vie secrète. La nuit, il sort de chez lui pour aller taguer. Et surtout, il est amoureux d’Aimée, qui ne pense à rien d’autre qu’au football. Comment faire pour qu’elle le remarque ? Par chance, Mohammed-Ali peut compter sur le soutien de Lina et Margaux. En amour comme au football, il faut un plan de jeu. Il faut avoir du style.Il va inviter Aimée à voir un match au Stade de France.
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En classe de 3e, Mohammed-Ali est discret et populaire. Pour lui, le collège ça roule. Tranquille. En apparence du moins, car il a une vie secrète. La nuit, il sort de chez lui pour aller taguer. Et surtout, il est amoureux d’Aimée, qui ne pense à rien d’autre qu’au football. Comment faire pour qu’elle le remarque ? Par chance, Mohammed-Ali peut compter sur le soutien de Lina et Margaux. En amour comme au football, il faut un plan de jeu. Il faut avoir du style.Il va inviter Aimée à voir un match au Stade de France.