Le 44e régiment d'infanterie (44e RI) est un régiment d'infanterie de l'armée française créé sous la Révolution à partir du régiment d'Orléans, un régiment français d'Ancien Régime créé en 1642 sous le nom de régiment Mazarin-Italien. Surnommé l’"As de pique" (division des As) pendant la guerre de 1914-1918, il sert actuellement de corps support aux personnels militaires affectés à la DGSE.
Colonels tués ou blessés alors qu'ils commandaient le 44e RIL :
Officiers tués ou blessés alors qu'ils servaient au 44e RIL durant la période 1804 - 1815 :
(*)Officiers ayant atteint par la suite le rang de Général de brigade
Durant la guerre franco-prussienne le régiment est à l'armée du Rhin puis à l'armée de Metz et combat à
Au 28 décembre 1870, le 44e régiment de marche est créé, et fait partie de l’armée de l'Est sous les ordres du général Bourbaki.
Avec le 73e mobiles du Lieutenant-colonel de Raucourt, le 38e forme la 2e brigade du général Robert. Cette brigade avec la 1re brigade du colonel Leclaire, deux batteries de 4, constituent la 1re division d’infanterie commandée par le général Feillet-Pilatrie. Cette division évolue au sein du 18e corps d’armée du général de division Billot.
Première bataille de la Marne
Seconde bataille de Champagne.
le 29 juin 1918, le lieutenant Colonel Nièger a décerné une citation no 101 au soldat Louis François Chappuis de la 9e compagnie au front depuis le 12 août 1914 a participé à toutes les affaires du régiment, soldat courageux sous de violents bombardements a assuré comme cuisinier le ravitaillement de la compagnie pendant la période du 10 au 16 mai 1918 et a été grièvement blessé à son poste.
Ce régiment a été dissous en 1923[8].
Le drapeau s'éloigna des armées que le 25 mars 1918 salué une dernière fois à Braine avant de rejoindre provisoirement la salle d'honneur du dépôt de Laval (lieu de refuge après avoir quitté Verdun en 1916). Le 14 juillet 1919, le drapeau allait flotter une dernière fois au soleil de la Victoire et sous l'Arc de Triomphe, tenu haut et ferme par le lieutenant Greiveldinger, le vétéran des Hautes-Charrières et accompagné par le chef de corps du début le lieutenant-colonel Demange. Le drapeau a été remis au Musée de l'Armée à Paris le 21 février 1922[9].
Il porte, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes[12],[13]:

À partir du Recueil d’historiques de l'infanterie française (Général Andolenko - Eurimprim 1969).