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Cote | Localisation | Statut |
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B TOR | Récits de vie Plus de détails sur cet exemplaire Code-barres: 1049174577 |
Auteur | Philippe Torreton [auteur] |
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Titre | Mémé / Philippe Torreton. |
Editeur | Paris : L'Iconoclaste, 2013. |
Description | 143 p. : jaquette ill. en coul. ; 19 cm |
Langue | Français. |
Centre d'intérêts | Documentaire adulte |
Voir aussi | Sujet : Autobiographie ![]()
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"Mémé, c'est ma mémé, même si ça ne se dit plus. Mémé me manque. Ses silences, ses mots simples au Scrabble, sa maison enfouie sous les pommiers et son buffet d'avant-guerre. Ce texte est subjectif, ... , c'est ce que j'ai vu, compris ou pas, ce que j'ai perdu et voulu retenir, une dernière fois. Mémé, c'est mon regard de gamin qui ne veut pas passer à autre chose". Voici le portrait ... Philippe Torreton fait de celle qui fut le personnage central de son enfance, un portrait tendre et nostalgique, construit par petites touches [...] comme la mémoire, où chacun retrouvera sa grand-mère ou celle dont il a rêvé
Titre: MéméAuteur(s): Philippe TORRETONEditeur: L'IconoclasteAnnée d'édition: 2014Etat: Occasion - Très bonISBN : 9782913366619Commentaire: Ammareal reverse jusqu'à 15% du prix net de ce livre à des organisations caritatives. Chez Ammareal nous vendons des livres d'occasion en ligne fournis par nos partenaires bibliothèques et associations.Nous reversons une part du prix de chaque livre à nos partenaires et à des organisations caritatives.Ce que nous ne vendons pas nous le donnons, ce que nous ne donnons pas nous le [...] recyclons.
Médias
Philippe Torreton est un acteur français né à Rouen le . Il est ancien conseiller de Paris, élu dans le 9e arrondissement de la capitale. Il est aussi depuis 2015, devenu le parrain du festival des Didascalies (festival lycéen et collégien de théâtre, de danse et de musique) se déroulant chaque année dans la ville de Périgueux.
Né à Rouen (Seine-Maritime), il est le fils de Jacques Torreton, employé de station service, et de Claudine Lehoc, institutrice et militante syndicale[1]. Philippe Torreton grandit dans la banlieue de Rouen et a deux frères portés à cette époque sur le football[2]. Étudiant à l'école Maryse-Bastié puis au collège Édouard-Branly de Grand-Quevilly et au lycée les Bruyères à Sotteville-lès-Rouen[3], il s'y découvre un certain amour pour le théâtre qu'il ne cessera de développer, grâce à des professeurs, aimant souvent citer son professeur de français Gérald Désir qui encourage ses premiers pas dans le club de théâtre dans la salle polyvalente du collège Édouard-Branly où l'avait inscrit sa mère à un stage d’initiation[4]. Inscrit en faculté de psychologie de Rouen, sans vraie conviction, il rêve d'être inspecteur de police présente finalement celui du Conservatoire d'art dramatique[3].
Élève en 1987 du Conservatoire national supérieur d'art dramatique, il fréquente les classes de Madeleine Marion, Catherine Hiegel et Daniel Mesguich[2] ; il y reviendra pour enseigner à partir d'octobre 2008.
Philippe Torreton entre en 1990 à la Comédie-Française comme pensionnaire. Il en devient le 489e sociétaire en 1994.
Après des rôles parmi les plus prestigieux comme Scapin, Lorenzaccio, Hamlet, Henry V, Tartuffe ou George Dandin, il quitte la Comédie-Française en 1999.
Distingué en 1996 par le Prix Gérard Philipe de la ville de Paris, il interprète le rôle titre du film Capitaine Conan de Bertrand Tavernier évoquant un épisode peu connu de la Première Guerre mondiale puisqu’il se passe en 1919. Son jeu dans ce rôle lui vaut le César du meilleur acteur en 1997. C'est lors de la représentation du Malade imaginaire en 1991, que Bertrand Tavernier l'avait repéré, lui proposant le rôle d'Antoine dans L.627, sorti en 1992.
Acteur engagé, il interprète en 1999, toujours pour Tavernier, le rôle d’un directeur d’école maternelle confronté à la misère sociale dans Ça commence aujourd'hui.
Il est nommé chevalier de l'ordre des Arts et des Lettres en 1999.
Au théâtre, il interprète, entre autres, en 2000, On ne refait pas l’avenir d’Anne-Marie Étienne, son épouse, mais continue à tourner régulièrement : en 2001, il donne la réplique à Charlotte Gainsbourg dans Félix et Lola de Patrice Leconte, en 2002 il est Monsieur N. pour Antoine de Caunes, en 2004, il est face à Grégori Dérangère dans L'Équipier de Philippe Lioret, en 2005, il apparaît dans Les Chevaliers du ciel de Gérard Pirès. Il est nommé pour le César du meilleur acteur cette même année.
En 2005, il est Robert III d’Artois, dans la série diffusée sur France 2, Les Rois maudits, puis on le voit dans La vie sera belle en 2007. Entre temps, il est M. Seurel dans Le Grand Meaulnes et Charles dans Ulzhan de Volker Schlöndorff.
Torreton est en tournée durant la saison 2005-2006 dans le rôle de Richard III, dans la pièce du même nom de William Shakespeare, dans une mise en scène de Philippe Calvario. Il se lance à son tour dans la mise en scène en 2007, montant et interprétant Dom Juan de Molière.
En 2006-2007, Antoine Benoit tourne Au cœur de l'acteur (sorti en 2008), un film documentaire dans lequel il suit Philippe Torreton dans son travail de comédien dans la pièce d'Alexandre Griboeidov Du Malheur d'avoir de l'esprit, créée en mars 2007 au Théâtre national de Chaillot. Le film met en avant l'engagement de l'acteur sur scène et son engagement politique, nous entraînant aussi dans la campagne présidentielle à laquelle Philippe Torreton participa activement.
En 2010, il joue dans Un pied dans le crime de Labiche, dans une mise en scène de Jean-Louis Benoît puis en 2011 dans Hamlet, mis en scène par Jean-Luc Revol. Durant les saisons 2012-2014, il tient le rôle titre dans Cyrano de Bergerac d'Edmond Rostand, mis en scène par Dominique Pitoiset. Il obtient le Molière du meilleur comédien dans le théâtre subventionné pour ce rôle en 2014.
Il tourne Présumé coupable de Vincent Garenq et est nommé pour le César du meilleur acteur en 2012.
Lors de l'élection présidentielle de 2007, Philippe Torreton soutient Ségolène Royal et s'est exprimé lors d'une réunion de la candidate au Bataclan (Paris 11e) le [5].
Il s'engage avec Bertrand Delanoë pour les élections municipales de 2008 à Paris en tant que candidat dans le 9e arrondissement et est élu conseiller de Paris. Il est également conseiller d'arrondissement, délégué à la citoyenneté, à la lutte contre les discriminations et aux évènements artistiques auprès du maire du 9e[6]. Il est au Conseil de Paris en 2010 le second élu le plus absent, après la ministre Christine Lagarde et devant l'autre membre du gouvernement, Pierre Lellouche, et le premier parmi les élus de la majorité socialiste[7]. Il démissionne de son mandat au Conseil de Paris en novembre 2010[8].
Le 17 décembre 2012 il publie dans Libération une lettre s'adressant à Gérard Depardieu, en lui reprochant son exil fiscal : « Alors Gérard, t’as les boules ? »[9], qui provoque diverses réactions dans le milieu artistique. L'actrice Catherine Deneuve, publiera quelques jours plus tard, toujours dans Libération, une réponse[10], où elle fait part de sa « colère », en réaction au jugement de Torreton[11], Fabrice Luchini ironisera en commentant que « ceux qui jugent Depardieu, surtout s'ils sont acteurs, [...] devraient juger aussi leur filmographie »[12].
Il soutient Yannick Jadot pour la primaire de l'écologie de 2016[13].
Il a été le compagnon de la journaliste française Claire Chazal entre 2003 et 2007.
Il a deux enfants, Louis et Marie, de son mariage avec la réalisatrice Anne-Marie Étienne. Il se marie le 20 juin 2008 avec la journaliste Elsa Boublil[14] avec qui il a deux autres enfants, Jeanne et Simon, nés respectivement en 2008 et 2011[15].
Marilyn Monroe, Elvis Presley ou Kennedy, la chaise électrique, le dollar, les émeutes raciales et les accidents de voiture... Andy Warhol (1928-1987) s'est emparé des images symboles de la société américaine pour inventer une nouvelle forme d'art. À l'origine dessinateur publicitaire, Warhol comprend notamment grâce à Rauschenberg que l'art peut intégrer n'importe quel sujet et investit les domaines de la publicité, de la BD et des objets de la société de consommation. En 1962, il impose sa boîte de soupe Campbell et est [...] désormais considéré comme le chef de file du pop art. Sa technique faite d'interventions mécaniques et manuelles, ses mises en page par duplication, son emploi de la sérigraphie sur toile sont véritablement novateurs ; en reproduisant machinalement des effigies, il s'attaque à la prééminence des images uniques et sacralisées de l'art traditionnel et bouleverse l'art du portrait. Les oeuvres qu'il nous laisse resteront à jamais des témoignages sur l'Amérique des années soixante. --Sylvie Lécallier
Résumé: Le Chat est un philosophe plein de bon sens, qui a du mal à appeler un chat un chat ! Il est l'ennemi de la déprime et du sérieux, l'ennemi des souris et l'ami des jeux de mots qui sonnent comme des sentences.