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Cote | Localisation | Statut |
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J | Albums & Romans Plus de détails sur cet exemplaire Code-barres: 1247364577 |
Auteur | Alexandre Jardin [auteur] |
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Titre | Pas la pomme, Blanche-Neige ! / Alexandre Jardin ; illustré par Hervé Le Goff. |
Editeur | Vanves : Gautier-Languereau, 2019. |
Collection | Entre dans le conte ; 2 |
Description | n. p. : ill. en coul. ; 20 cm |
Langue | Français. |
Centre d'intérêts | Album |
Autres auteurs | Hervé Le Goff [illustrateur] |
Support | Livre |
Impossible pour Nicolas le bavard de laisser Blanche-Neige s'empoisonner avec une pomme ensorcelée sans rien faire ! Il saute alors dans son livre pour intervenir. Armé de tout son blabla de moulin à parole, il trouvera les arguments pour arrêter la sorcière et sauver la belle.
Médias
Alexandre Jardin, né le à Neuilly-sur-Seine, est un écrivain, cinéaste et pamphlétaire français.
Fondateur en 2015 du mouvement citoyen Bleu Blanc Zèbre, il annonce en sa candidature à l'élection présidentielle française de 2017.
Alexandre Jardin est le fils de Pascal Jardin (1934-1980), écrivain et scénariste, dit le Zubial ; lui-même fils de Jean Jardin (1904-1976), dit le Nain Jaune, homme politique, directeur de cabinet de Pierre Laval sous le régime de Vichy[1]. Il a deux frères, dont le réalisateur Frédéric Jardin et une demi-sœur. Il est le cousin de Stéphane Delajoux. Il est père de cinq enfants, issus de deux mariages[1].
Il a été élève à l'École alsacienne[2],[3] et de Sciences Po Paris[1].
Il écrit à 20 ans Bille en tête (1985, son premier roman, prix du 1er roman en 1986). Diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris (section Économie et finances, promotion 1986)[4], chroniqueur au Figaro, il réalise aussi plusieurs films dont Fanfan ou Oui.
En 1988, il reçoit le prix Fémina pour son livre Le Zèbre, ouvrage qui est adapté au cinéma par Jean Poiret, en 1992.
Il a été chroniqueur littéraire pour Canal+ dans l'émission Nulle part ailleurs (avec Philippe Gildas et Antoine de Caunes).
En tant qu'écrivain, ses principaux thèmes sont l'amour à la Feydeau et la pédagogie. Il aborde la peur de la monotonie et le regain de la première flamme amoureuse. Des enfants émerveillés sont souvent mis en scène.
En 2004, il écrit une série d'ouvrages destinés aux adolescents, Les Coloriés. En mai 2004, Philippe Muray lui consacre dans Exorcismes Spirituels - Moderne contre moderne, un article intitulé « Effroyable jardin »[5].
Le 1er avril 2008, il publie Chaque femme est un roman, une série de portraits de femmes.
En 2011, il participe au festival littéraire Metropolis bleu. Cette même année paraît Des gens très bien, dans lequel Alexandre Jardin questionne le passé vichyste de son grand-père et le déni familial le concernant. Il s'interroge notamment sur son rôle lors de la rafle du Vélodrome d'Hiver en juillet 1942. La nécessité pour lui de faire la lumière sur ce « secret de famille » et d'« ôter le masque » a provoqué des remous dans son entourage familial mais il affirme être sorti profondément régénéré de ce processus psychologique de mise à nu qu'il confirme dans Joyeux Noël, ouvrage inspiré de ses rencontres avec les lecteurs qui se sont confiés à lui après son précédent opus.
En 1999, il est à l'origine de la création de l'association Lire et faire lire avec le journaliste Pascal Guénée.
En 2002, il poursuit son engagement associatif avec la création de l'association Mille mots pour laquelle des bénévoles retraités interviennent en prison. Il est également parrain de l'association Unis-Cité qui propose un service civil volontaire aux jeunes âgés entre 18 et 25 ans. Il publie 1+1+1 qui est un mode d'emploi pour faire de la politique autrement.
En 2007, à l'aube de l'élection présidentielle, il crée le site « Comment on fait », pour faire appel au bon sens des Français afin de résoudre leurs problèmes. L'idée est de communiquer les meilleures propositions au vainqueur de la présidentielle.
En 2012, lors de la présidentielle, il reproche à François Hollande une vision quantitative de la politique d'éducation, et un manque de vision qualitative[6].
En 2015, il fonde l'association « Bleu Blanc Zèbre » (BBZ) qui est à l'origine du mouvement citoyen collaboratif du même nom. Ce mouvement « vise à fédérer et unir la société civile dans l’action concrète au bénéfice de la population. Chaque Zèbre est une part de la solution et chacun prend sa part dans le succès de cette aventure collective »[7]. Il lance une pétition nationale, le manifeste des « Faizeux »[8], et, le , il publie Laissez-nous faire ! On a déjà commencé[9],[10].
Alexandre Jardin entend tirer ses compatriotes vers le haut[11] et espère dissoudre le mouvement en 2017, après avoir gagné son combat, et alors « retourner à la littérature »[12]. Le combat sera gagné lorsque les politiques (les « diseux ») confieront à la société civile (les « faizeux ») des « contrats de mission de service public »[13],[14].
Le 3 décembre 2016, il déclare sur France Info qu'il est candidat à l'élection présidentielle française de 2017[15].
Ce Saint Louis de Jacques le Goff, c'est la rencontre d'une des figures de proue du mouvement des Annales, traditionnellement hostile au culte de la biographie, avec la plus haute figure de l'histoire nationale, le personnage quasi mythologique du roi très chrétien, et même le seul canonisé des trente rois qui ont fait la France . Et pour faire bonne mesure, cette étude approfondie ne se veut - c'est ce qui fait sa puissante originalité - ni la France de Saint Louis ni Saint Louis dans son temps , mais bien la recherche, de l'homme, de [...] l'individu, de son moi , dans son mystère et sa complexité. Qui fut Saint Louis ? Peut-on le connaître et, Joinville aidant, entrer dans son intimité ? Peut-on le saisir à travers toutes les couches et les formations de mémoires attachées à construire sa statue et son modèle ? Problème d'autant plus difficile que, la légende rejoignant pour une fois la réalité, l'enfant roi de douze ans semble avoir été dès le départ programmé, si l'on ose dire, pour être ce roi idéal et unique que l'histoire en a fait. Cette somme tient ainsi le pari de fondre dans la même unité savante et passionnée le récit de la vie du roi et l'interrogation qui, pour l'historien, le double, l'habite et l'autorise : comment raconter cette vie, comment parler de Saint Louis, à ce point absorbé par son image qu'affleure la question provocatrice Saint Louis a-t-il existé ? . Les biographes se veulent, en général, neutres et impassibles comme des juges suprêmes. Ici, le sentiment de la vérité naît au contraire de la tension explicite entre l'historien et son héros : un mélange d'attirance et d'hostilité, d'admiration, de rejet et de déconcertante amitié qui, loin de toute hagiographie, s'épanouit en une contagieuse fascination.