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Un bourg du Cher en 1908. Le riche Anselme de Boisvaillant « engrosse » Céleste, la jeune bonne de dix-sept ans, contre son gré. Victoire, son épouse délaissée, décide de faire de l’enfant l’héritier tant espéré. Tout va rapprocher ces deux femmes mal aimées, et créer des liens d’une intensité libératrice.
Née de la liaison entre une Vietnamienne et un officier français durant la guerre d’Indochine, Camille a été séparée de sa mère et élevée dans un pensionnat français. Soutenue financièrement par un père dont elle ignore tout et qui ne l’a jamais reconnue, elle part à la quête de son passé...
" Ecouter la voix des haricots " : tel est le secret de Tokue, une vieille dame aux doigts mystérieusement déformés, pour réussir le an, la pâte de haricots rouges dont sont fourrés les dorayaki, des pâtisseries japonaises. Sentarô, qui a accepté d'embaucher Tokue dans son échoppe, voit sa clientèle doubler du jour au lendemain, conquise par ses talents de pâtissière. Mais la vieille dame cache un secret moins avouable et disparaît comme elle était apparue, laissant Sentarô interpréter à sa façon la leçon qu'elle lui a fait [...] partager.
Dans les quartiers pauvres de Marrakech, tout est bon pour gagner de l'argent. Mimoun, dernier-né d'une famille de six enfants, est pressenti pour tenir le rôle de l'éternel bébé, celui que sa mère loue aux mendiantes pour vingt dirhams la journée en médina. Le corps comprimé dans des bandelettes pendant plusieurs années, interdit de grandir, parler ou se nourrir normalement, l'enfant conserve malgré tout un formidable instinct de vie et observe avec acuité les hommes et le monde pour tenter d'y trouver sa place, et accéder à la [...] liberté.
Sur un rythme aussi enjoué qu’endiablé, Serge Revel nous emporte dans la cavale de Paul, vieux monsieur révolté en rupture de maison de retraite, qui ne va pas tarder à se retrouver poursuivi par sa nièce, les gendarmes, les médecins, les religieuses, les psychiatres, toutes personnes qui ne lui veulent que du bien. Avec l’aide affectueuse d’un chauffeur de taxi et le concours involontaire d’une poignée de bons Samaritains, toujours évadé, chaque fois repris, il va fomenter des entreprises de plus en plus audacieuses.
Pour ses copains de classe, Luke est un mec bizarre : il vient de perdre sa mère dans un accident de voiture, il a des yeux verts surnaturels, il est super doué pour la peinture. Pour couronner le tout, son père, fabricant de jouets en bois qu’il vend sur les marchés, ne parvient pas à payer les dettes qui s’accumulent depuis la disparition de sa femme. Bientôt, Luke et son père doivent déménager. Ils s’installent loin de chez eux, dans une bâtisse à demi en ruine. Luke et son père se fichent de vivre dans une telle baraque. [...] Le père parce qu’il boit trop depuis qu’il est veuf. Luke parce qu’il n’a que faire d’une maison quand il n’y a pas de maman à l’intérieur pour la remplir de joie et d’amour. Ainsi va l’existence de ces deux êtres en perdition : l’un s’enferme dans son atelier sans produire un seul jouet qui vaille le coup, l’autre explore la campagne alentour, à la recherche de choses à peindre. Puis Jon arrive. C’est leur seul voisin, il a lui aussi treize ans et a aussi perdu sa mère. Et si Luke est bizarre, Jon, lui, est un ovni. Il porte des vêtements de papi des années 50, vit seul avec ses grands-parents qu’on ne voit jamais et a de drôles de goûts : passionné par les faits, seulement les faits, et doté d’une excellente mémoire, il emmagasine des informations en tous genres glanées à la bibliothèque municipale. Évidemment, avec un tel bagage, il est le souffre-douleur de l’école. Aux yeux de Luke, Jon a quelque chose en plus : il aurait plu à sa maman, qui aimait tellement les êtres à part.
L’amour et la solitude, la possibilité de changer de vie, le hasard des rencontres, les choix qui s’offrent à nous, l’art de la fuite... Tels sont certains des thèmes abordés dans ce recueil de nouvelles, le tout premier du romancier américain Douglas Kennedy.
Addie, soixante-quinze ans, fait une étrange proposition à son voisin : voudrait-il bien passer, parfois, la nuit avec elle, simplement pour parler, se tenir compagnie ? La solitude est parfois si dure…
. Bravant les cancans de la petite ville de Holt, Addie et Louis se retrouvent chaque soir. Mais si nos deux tourtereaux n’ont que faire de l’avis des autres, en sera-t-il de même pour leurs proches ?
Entre rire et larmes, le récit authentique d’une enfance marquée par l’amour d’une mère courage, l’alcool et la violence d’un père raté mais pardonné, et le basculement progressif vers la délinquance. Une tranche de vie tendre et sans fioritures, riche en personnages hauts en couleur, qui ressuscite de façon unique l’atmosphère du Paris populaire des années 1950. Les couleurs, les senteurs, les marchands de quatre saisons, les petits bals et l’accordéon, les fêtes foraines, les bars et les poivrots, les voyous et les [...] bastons, tout y est !
Cette saison-là, les loups sont revenus dans la vallée. Et Nadia est arrivée. Nadia dont Estelle n'avait jamais entendu parler. La soeur jumelle de son mari pourtant. Après quatre années passées à New York, elle s'est installée dans le chalet de l'ubac, chez les jeunes époux. Là où ils ont fait leur nid voici quelques mois à peine, juste après leur mariage. Mais avec la présence de Nadia, quelque chose a changé.
Estelle a commencé à avoir peur. Peur pour son bébé. Sa petite Lilas si fragile. Si essentielle.